Le manuscrit fr. 13503 est un manuscrit de petit format (167 x 120 mm) : il a été exécuté dans les premières années du XIVe siècle pour les religieuses (peut-être pour une des religieuses) du couvent des béguines de Marseille. Le copiste s’est nommé dans une prière au f. 102 : « Obsecro vos qui hoc legeritis ut Jacobi peccatoris in orationibus vestris memineritis. Amen. »
Sur Douceline de Digne, née à Digne en 1214 et morte à Marseille en 1274, qui fonda vers 1240 une communauté de béguines à l’extérieur de la ville d’Hyères, voir :
La vie a été rédigée directement en occitan par l’une des plus anciennes compagnes de la sainte, Philippine de Porcelet, à la fin du XIIIe siècle. Sur la famille Porcelet, voir :
La Vida de la benaurada sancta Doucelina qui n’est connue que par ce manuscrit a été publiée à deux reprises : La vie de sainte Douceline, fondatrice des béguines de Marseille, composée au treizième siècle en langue provençale, publiée pour la première fois, avec la traduction en français et une introduction critique et historique, par l’abbé J.-H. Albanès, Marseille, 1879. La vie de sainte Douceline. Texte provençal du XIIe siècle, traduction et notes par R. Grout, Paris, 1927 (Ars et Fides, 8). Voir éventuellement une traduction en anglais de la traduction française qui accompagne l’édition Albanès pour laquelle les auteurs n’ont pas eu recours au texte médiéval : The life of Saint Douceline, a Beguine of Provence translated by Kathleen Garay and Madeleine Jeay, Woodbridge, 2001.
On peut lire une étude d’ensemble sur l’oeuvre sous la plume d’Ernest RENAN dans :
Le manuscrit fr. 13503 est un manuscrit de petit format (167 x 120 mm) : il a été exécuté dans les premières années du XIVe siècle pour les religieuses (peut-être pour une des religieuses) du couvent des béguines de Marseille. Le copiste s’est nommé dans une prière au f. 102 : « Obsecro vos qui hoc legeritis ut Jacobi peccatoris in orationibus vestris memineritis. Amen. »
Sur Douceline de Digne, née à Digne en 1214 et morte à Marseille en 1274, qui fonda vers 1240 une communauté de béguines à l’extérieur de la ville d’Hyères, voir :
La vie a été rédigée directement en occitan par l’une des plus anciennes compagnes de la sainte, Philippine de Porcelet, à la fin du XIIIe siècle. Sur la famille Porcelet, voir :
La Vida de la benaurada sancta Doucelina qui n’est connue que par ce manuscrit a été publiée à deux reprises : La vie de sainte Douceline, fondatrice des béguines de Marseille, composée au treizième siècle en langue provençale, publiée pour la première fois, avec la traduction en français et une introduction critique et historique, par l’abbé J.-H. Albanès, Marseille, 1879. La vie de sainte Douceline. Texte provençal du XIIe siècle, traduction et notes par R. Grout, Paris, 1927 (Ars et Fides, 8). Voir éventuellement une traduction en anglais de la traduction française qui accompagne l’édition Albanès pour laquelle les auteurs n’ont pas eu recours au texte médiéval : The life of Saint Douceline, a Beguine of Provence translated by Kathleen Garay and Madeleine Jeay, Woodbridge, 2001.
On peut lire une étude d’ensemble sur l’oeuvre sous la plume d’Ernest RENAN dans :