L’épisode proposé ici se situe au début du roman : le jeune Jaufre, fils de Dozon jadis mort au service du roi Arthur, s’est présenté à la cour du roi et lui a demandé de l’armer chevalier et de lui accorder la première des demandes qu’il lui ferait. Taulat de Rougemont ayant pénétré dans la salle à cheval et frappé un convive qu’il a étendu mort aux pieds de la reine, Jaufre demande l’autorisation de poursuivre Taulat afin de venger cet affront. Il part à cheval et rencontre sur son chemin un chevalier blessé.
Le texte a fait l’objet de plusieurs éditions parmi lesquelles on retiendra :
On peut voir aussi une édition “critique” du texte de Jaufre par Charmaine Lee à l'adresse http://www.rialc.unina.it./jaufre-i.htm. Le manuscrit dont on trouvera la description la plus complète dans C. Brunel, op. cit., t. I, p. XX-XXVI, a été copié par deux scribes à la fin du XIIIe ou au début du XIVe siècle : le premier est languedocien (vers Nîmes), le second provençal. Le manuscrit se signale par la qualité et l’originalité de son illustration (250 scènes) : sur ce feuillet l’image est au milieu du texte et prend la place d’un vers ; de plus elle coupe la phrase en deux et intervient au milieu du couplet d’octosyllabes.
L’épisode proposé ici se situe au début du roman : le jeune Jaufre, fils de Dozon jadis mort au service du roi Arthur, s’est présenté à la cour du roi et lui a demandé de l’armer chevalier et de lui accorder la première des demandes qu’il lui ferait. Taulat de Rougemont ayant pénétré dans la salle à cheval et frappé un convive qu’il a étendu mort aux pieds de la reine, Jaufre demande l’autorisation de poursuivre Taulat afin de venger cet affront. Il part à cheval et rencontre sur son chemin un chevalier blessé.
Le texte a fait l’objet de plusieurs éditions parmi lesquelles on retiendra :
On peut voir aussi une édition “critique” du texte de Jaufre par Charmaine Lee à l'adresse http://www.rialc.unina.it./jaufre-i.htm. Le manuscrit dont on trouvera la description la plus complète dans C. Brunel, op. cit., t. I, p. XX-XXVI, a été copié par deux scribes à la fin du XIIIe ou au début du XIVe siècle : le premier est languedocien (vers Nîmes), le second provençal. Le manuscrit se signale par la qualité et l’originalité de son illustration (250 scènes) : sur ce feuillet l’image est au milieu du texte et prend la place d’un vers ; de plus elle coupe la phrase en deux et intervient au milieu du couplet d’octosyllabes.