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Dénuée d’affectation, l’écriture échappe encore à toute sorte de cursivité. Son caractère diplomatique s’affirme dans quelques ornements, quelques discrets redoublements de majuscules (“T” en l. 1, “E” en l. 1 et 2, “G” en l. 2…), l’étirement parfois maladroit du jambage plongeant des “m” et “s” finaux, l’étirement en hauteur du “a” initial (deux exemples l. 2), qui n’est pas sans suggérer une possible influence des actes anglo-normands, que l’on pourrait aussi subodorer dans l’abréviation initiale du nom de l’auteur (“Th.”). Quelques ligatures (“fl” de “flay”, l. 2) ou amorces de ligature (“ct” de “fructibus”, l. 5) sont aussi à noter. Le pointage sert à distinguer deux i qui se suivent. La ponctuation est discrète mais pertinente. La volonté de clarté est donc évidente.
Dénuée d’affectation, l’écriture échappe encore à toute sorte de cursivité. Son caractère diplomatique s’affirme dans quelques ornements, quelques discrets redoublements de majuscules (“T” en l. 1, “E” en l. 1 et 2, “G” en l. 2…), l’étirement parfois maladroit du jambage plongeant des “m” et “s” finaux, l’étirement en hauteur du “a” initial (deux exemples l. 2), qui n’est pas sans suggérer une possible influence des actes anglo-normands, que l’on pourrait aussi subodorer dans l’abréviation initiale du nom de l’auteur (“Th.”). Quelques ligatures (“fl” de “flay”, l. 2) ou amorces de ligature (“ct” de “fructibus”, l. 5) sont aussi à noter. Le pointage sert à distinguer deux i qui se suivent. La ponctuation est discrète mais pertinente. La volonté de clarté est donc évidente.