Dans ce manuscrit copié dans le sud de l’Italie, l’écriture présente un aspect essentiellement apparenté à celui d’une minuscule caroline soignée (technique et forme de la plupart des lettres), mais certaines particularités sont déjà propres à l’écriture bénéventine qui commence à se constituer à la même époque.
Les traits bénéventins les plus caractéristiques, issus en partie de la tradition cursive tardo-antique, sont les suivants :
Accessoirement :
La deuxième ligne est écrite en lettres onciales, dans les formes calligraphiques typiques de son évolution tardive, ici rendues avec légèreté et élégance : angle d’écriture proche de l’horizontale, L développé en hauteur, M en deux arcs parfaitement symétriques.
Dans ce manuscrit copié dans le sud de l’Italie, l’écriture présente un aspect essentiellement apparenté à celui d’une minuscule caroline soignée (technique et forme de la plupart des lettres), mais certaines particularités sont déjà propres à l’écriture bénéventine qui commence à se constituer à la même époque.
Les traits bénéventins les plus caractéristiques, issus en partie de la tradition cursive tardo-antique, sont les suivants :
Accessoirement :
La deuxième ligne est écrite en lettres onciales, dans les formes calligraphiques typiques de son évolution tardive, ici rendues avec légèreté et élégance : angle d’écriture proche de l’horizontale, L développé en hauteur, M en deux arcs parfaitement symétriques.