Les mots sont le plus souvent bien séparés, sauf les agglutinations habituelles de prépositions et conjonctions monosyllabes, et quelques cas particuliers : soudure des deux parties d’une forme verbale, nisus sum ; coupure de crederet pour ne pas trop approcher de l’initiale.
La coupure syllabique en fin de ligne est correcte, quoique encore sans trait d’union (c’est la règle avant le XIIe siècle).
La ponctuation est assurée par un système à trois niveaux :
Ce feuillet de dimensions moyennes (260 x 170 mm) contient la première page du manuscrit, dont elle résume les caractères formels et porte les traces historiques. Une réglure à la pointe sèche délimite l’espace d’écriture (210 x 130 mm, non sans débordement). Le titre est rubriqué, et le début du texte est mis en valeur de deux manières :
Le manuscrit présente trois marques visibles de son histoire :
Les mots sont le plus souvent bien séparés, sauf les agglutinations habituelles de prépositions et conjonctions monosyllabes, et quelques cas particuliers : soudure des deux parties d’une forme verbale, nisus sum ; coupure de crederet pour ne pas trop approcher de l’initiale.
La coupure syllabique en fin de ligne est correcte, quoique encore sans trait d’union (c’est la règle avant le XIIe siècle).
La ponctuation est assurée par un système à trois niveaux :
Ce feuillet de dimensions moyennes (260 x 170 mm) contient la première page du manuscrit, dont elle résume les caractères formels et porte les traces historiques. Une réglure à la pointe sèche délimite l’espace d’écriture (210 x 130 mm, non sans débordement). Le titre est rubriqué, et le début du texte est mis en valeur de deux manières :
Le manuscrit présente trois marques visibles de son histoire :