Connu par un manuscrit unique qui provient du couvent des célestins (cf. l’ex-libris porté par une main du XVIIIe siècle au bas du feuillet), le livret est un recueil de prières composites rassemblées après 1380. Il emprunte ses pièces aussi bien à des prières de saints récents comme Bernard de Clairvaux ou Thomas d’Aquin (orationibus devotissimis et contemplacionibus sanctorum et doctorum…) qu’à l’office liturgique, comme l’office romain de la Vierge ou l’office des morts (… et quampluribus horis canonicis). On y retrouve les thèmes chers à Philippe : la Passion du Christ évoquée dans ses aspects les plus sensibles, la dévotion mariale ainsi que la dévotion envers les espèces eucharistiques.
Connu par un manuscrit unique qui provient du couvent des célestins (cf. l’ex-libris porté par une main du XVIIIe siècle au bas du feuillet), le livret est un recueil de prières composites rassemblées après 1380. Il emprunte ses pièces aussi bien à des prières de saints récents comme Bernard de Clairvaux ou Thomas d’Aquin (orationibus devotissimis et contemplacionibus sanctorum et doctorum…) qu’à l’office liturgique, comme l’office romain de la Vierge ou l’office des morts (… et quampluribus horis canonicis). On y retrouve les thèmes chers à Philippe : la Passion du Christ évoquée dans ses aspects les plus sensibles, la dévotion mariale ainsi que la dévotion envers les espèces eucharistiques.