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Les abréviations sont nombreuses, variées et des types les plus courants, utilisant le tilde, les lettres suscrites et les signes spécifiques pour pro pre per us.
Le tilde ou titulus, signe d'abréviation générique, n'est guère utilisé sur voyelle pour rendre une nasale, sauf en terminaison et dans quelques cas d'exception : sur le préfixe con- (mais l'unité préfixe + radical est souvent problématique dans les graphies médiévales) et en fin de ligne quand le scripteur a voulu serrer un mot (semper 9, convenientiam 15).
Plus souvent, le tilde dans le mot sert pour : contraction ; syllabe voyelle + n ; syllabe er/re (cette dernière n'étant pas, comme souvent, représentée par un signe abréviatif spécifique, différentié du simple tilde).
Quelques hésitations à noter : comparer omnibus (1), contraction usuelle du radical, avec les formes aussi fréquentes omni (8) et omnem (9), où le tilde a la valeur banale de n.
Les abréviations sont nombreuses, variées et des types les plus courants, utilisant le tilde, les lettres suscrites et les signes spécifiques pour pro pre per us.
Le tilde ou titulus, signe d'abréviation générique, n'est guère utilisé sur voyelle pour rendre une nasale, sauf en terminaison et dans quelques cas d'exception : sur le préfixe con- (mais l'unité préfixe + radical est souvent problématique dans les graphies médiévales) et en fin de ligne quand le scripteur a voulu serrer un mot (semper 9, convenientiam 15).
Plus souvent, le tilde dans le mot sert pour : contraction ; syllabe voyelle + n ; syllabe er/re (cette dernière n'étant pas, comme souvent, représentée par un signe abréviatif spécifique, différentié du simple tilde).
Quelques hésitations à noter : comparer omnibus (1), contraction usuelle du radical, avec les formes aussi fréquentes omni (8) et omnem (9), où le tilde a la valeur banale de n.